première diffusion le 28 octobre 1994

réalisation: Denys de la Patellière

scénario: Alexandre et Denys de la Patellière, Christian Watton

décors: François Chauvaud

costumes: Françoise Disle

musique: Laurent Petitgirard

avec: Claude Piéplu (Dandurand), Sophie Caffarel (Cécile), Annick Alane (Louise), Jean-Claude Frissung (Janvier), Jean-Pierre Gos (Lucas), Anne Bellec (Mme Maigret), Arnaud Giovaninetti (Gérard), Vanessa Guedj (Nouchi), François Clavier (juge Mathieu), Eva Ionesco (Florence)

Sans l’avoir vraiment voulu, un commissaire de police peut devenir un confident. C’est le cas de Maigret avec Cécile, une jeune femme terne et sans histoire qui, chaque jour, vient se confier à lui. Elle lui raconte qu’on déplace des meubles, la nuit, dans l’appartement où elle vit avec sa tante. Maigret pense qu’elle affabule. Un matin, avant que le commissaire ait eu le temps de la recevoir, elle disparaît après avoir déposé à la PJ un message: “un drame affreux a eu lieu cette nuit”. Maigret se rend chez elle, et y découvre le cadavre de la tante de Cécile, étranglée…

croustidialogues

Première apparition de Dandurand, qui rentre chez lui et croise la concierge; il tient une lettre à la main, dont il hume le parfum:

Dandurand : “Mmh, respirez ça !”

La concierge : “Une femme ?”

Dandurand : “Non! Mon percepteur…. Mais sa secrétaire se parfume à la violette !”

***

Nouchi attend Maigret devant l’entrée de l’immeuble où vivaient Cécile et sa tante:

Nouchi : “Ah, monsieur le commissaire ! Au fait, on dit “monsieur le commissaire” ou “commissaire” ?

Maigret : “Au choix. De toute façon, c’est moi !”